Ce jour là, dimanche 2 août 2020, les souvenirs corrompus n’étaient pas truffés d’incohérences. L’extinction de ce soleil omniprésent était une ondulation d’espoir et de tristesse. Tantôt je me réfugiais dans la pertinence de l’enseignement de Cheikh Ibrahima, tantôt je continuais de croire que je suis toujours dans un cauchemar et que je reviendrai à de meilleurs sentiments une fois réveillé. C’était bien vrai, l’ouragan s’est éclipsé.