Etoile divine de la Fayda: OUSTAZ IBRAHAM MAHMOUT DIOP :L’AMBASSADEUR DE L’ISLAM, UN HOMME INTEGRE ET MULTIDIMENSIONEL, UN PRODUIT DE L’ECOLE BARHAMIENNE
A Toi secrétaire de Baye indispensable.
A Toi témoin de premier plan,
A Toi pèlerin de l’islam infatigable,
A Toi le porteur de message sans clan,
Pour la création d’un monde équitable
Tu as sillonné Oustaz Barham tout l’univers
La chine, l’Italie, la France, l’Angleterre
Laissant à chacun un feu ardent palpable
Surtout les pays arabes, musulmans sur terre
Dans une sainteté clairvoyante extraordinaire
A Toi Barham Diop, la gloire infinie
D’avoir vécu à coté de Cheikh Al Islam, l’homme fini
Dans la lucidité de ces propos
A Toi escalier de Baye qui n’a point tourner le dos
Qui fait partie du choix des compagnons meilleurs
Avec l’apport des pures faveurs Barham O Oustaz Barham ! Que je T’adore Creuset de grâce et de grandeur que j’implore
Dans cette voie diurne dont Tu es le témoin final
Qui fit de Toi partisan des voyages internationaux
Accomplis avec Baye d’une baguette magique
Et au travers de ses forteresses idéologiques
Tu as fondé un empire spirituel manifeste
De l’atlantique au bout du monde et à l’extrême ouest.
Du Sénégal à l’Afrique, Barham a projeté les faisceaux
De la lumière de l’islam dans tous les réseaux, Sur les questions les plus délicates, allant du phénomène Coranique à la spiritualité, cette nouvelle donne, De la citoyenneté à l’égalité et à l’équité. Des foires Du Sénégal au Caire, du Niger à la RDC, le Ghana Du Kenya au Tchad, il n’y a aucun territoire Où ses pas ne sont allés pour éclairer les oulémas, Ambassadeur du Sénégal dans les hautes sphères
De la science islamique, en Indonésie, au Caire, Au Moyen-Orient, en Arabie, en Europe et en Amérique, Tu un homme dont la présence était immense, intense.
Un membre de la ligue mondiale islamique
Un être remarquable, d’une beauté distinguée.
D’une grande patience, d’une extrême indulgence.
Tu étais Oustaz le plus admirable, le plus parfait.
Ton charisme T’emplissait lorsque Tu Te taisais.
Et Ton degré se manifestait lorsque Tu parlais.
Ta parole était belle d’une grande acuité.
D’une rivière de joyaux, Tes mots avaient l’aspect.
Tu étais tel un soleil qui resplendissait.
Et de Ta bouche la lumière sortait quand Tu parlais.
Dans mon rêve, je me disais que Tu es tel un divin typhon Et Maitre Tu mérites que Ton nom soit inscrit sur le fronton, D’un amphithéâtre d’une université islamique d’excellence, Ou d’un édifice qui diffuse le savoir, l’éthique et le droit.
Toi le ressortissant de l’école de Cheikh Ibrahim Niasse, Partout dans le monde, Tu as hissé haut le drapeau vert Les Durûs Hassanya ont perdu une voix, et quelle voix ! L’esplanade de Cheikh Ibrahim Niasse a perdu dans la foi, Un animateur et un témoin des missions libératrices du Maître, De la Fayda de Cheikh Ibrahima Niasse, ce porteur de voix.
Quelle chance et quel bonheur les compagnons ont vécu !D’avoir eu l’honneur d’être à Tes côtés. Quelle chance et quel bonheur les compagnons ont connu !De contempler Ta splendeur et de T’écouter parler.
J’ai glané Mille essences d’encens consumées à ta gloire, Voyant des cœurs s’embraser d’ardeur sur ton haut encensoir, Je dédie cette rime et j’inclus ma sève écho de mon estime, A Ta grandeur Toi qui a participé à ce lotissement légitime ;
Ces périples, sa langue et sa plume ont rythmés même La grande université Mouhammad V de Rabat
En déliant les nœuds de la connaissance de la sharia
Tes cours de haute facture devant le roi du Maroc A contribué à l’élévation spirituelle des ondes de choc
O docteur de l’islam! Ça ne date pas d’hier ni d’aujourd’hui
Ce doux feu remuant constitua l’avant-garde qui éclaira la marche.
Ce feu Mahmoudien a porté haut l’étendard éclairant ainsi la nuit
Accepte alors maitre cet éloge qui est le miel de notre relation.
EL HADJI ABDOULYE FAM
MA PLUME, UNE LUMIERE