UN HOTE PAS COMME LES AUTRES A DAKAR
BIENVENUE
MOUHAMMADOUL MAHI IBRAHIMA NIAS
LE KHALIF MONDIAL DE LA FAYDATIDIANIA
(Par le poète de la Fayda)

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Un peu étourdi, Maitre je T’ai vu dans mes songes
S’asseyant sur le trône de Barhama ou je me plonge
A la façon d’un berger qui veille sur son troupeau virtuel
Dans l’au-delà de l’espace, au sein de la prairie spirituelle.
Faisons éclater notre allégresse O habitant du Sénégal!
Pour rendre gloire et honneur à cet ascète-amiral
Alors je trempe ma plume dans l’encre de mon âme
Pour témoigner avec une âme fondue, Tes paroles sublimes
Tu es un digne être, un doux souffle de paix et de pardon
Un héros de Médine, Tu es Mouhamadoul Mahi, notre don
Tu es l’homme qui ne se glorifie pas de sa relation avec Baye
Le fils sans barrière, sans limite et sans Dahiras ‘’walay’’
Ton existence est anticipée sur la table de l’au-delà
Et depuis Ta Naissance en mille neuf cent trente sept
Tu as propulsé la pure Mahrifa fondée sur des préceptes,
De l’islam originelle, Toi l’ami des étudiants et de leur Dahira
Ta mère, Sayda Aïssatou Sarr est fille bénie d’Amadou Sarr
Ibn Wakhe Sarr, ce djihadiste des premières heures
Qui avait pactisé avec le soufi El Hadji Abdoulaye Niasse
Et voilà que Tu es l’incarnation de l’âme valeureuse et vertueuse
Tu es un pur Soleil resplendissant du royaume spirituel.
C’est avec vraiment les larmes aux yeux vers le ciel
Que je médite sur Ton être exceptionnel et savant
Toi le deuxième fils de Baye a récité le coran
Tes paroles semées de lumière nous mènent au ciel rêvé
Et aux univers lumineux qui de son lait, on s’est sevré
Tu un verbe rassurant et triomphant, o supra pouvoir colossal
Que notre dévouement en Toi soit puissant et total
Toi dont le sublime nom résonne de partout
Comme la plus douce des mélodies divines en tout
Tel un phénix, Tes lumineuses paroles sont des faveurs
Qui dégagent constamment une aura de bonheur
Ton seul regard fait notre béatitude, O délice des anti-épines
Tel un soleil, Tu éclaires tout autour de Toi ! rien ne Te freine
De Cheikh Ibrahim à Aliou Cissé passant par Rabbani
Tu fus le fonctionnaire de la Ligue islamique mondial ici
Directeur de l’institut islamique, le bras droit de tous les khalifes
Le commentateur du coran, l’écrivain émérite, le vice Khalif
Le frère de Baba lamine, de Zeyda Mariéme Niass,
D’El hadji Abdoulaye Al Khalifa et de Sayda Hawa Niass
O cinquième fils de Baye et le cinquième a récité le coran dans la cité
Tes réflexions montent en force et retombent en bonté
Tes yeux étincelants de lumière, nous laissent toujours
Sans voix et Tes sourires rares ravivent nos jours
Ton moral brille de la même splendeur d’ailleurs
Car Tu es un pur signe du tout puissant, une pleine lune
Tu es Mouhamadoul Mahi Ibrahima Niass, le meilleur
Nul doute que Tu es l’un des plus glorieux des fils de Médine
Les sages Te choisiront sans doute à cause de Ta foi
Et les plus tenaces finiront par se ranger derrière Toi
Quelles étranges jardins, Tu m’as fait apercevoir continuel
Et mon âme y contemple mille formes et visage éternels.
Exceptionnel être à la puissance qui bouscule toutes les lois
Je Te glorifie en utilisant les mots de la langue de ma foi
Car ceux de mon cœur et de ma conscience ne seront jamais
A la hauteur pour Te glorifier Toi l’être bien guidé
Le magnifique trésor, le cadeau de toute l’humanité
Et me voilà à Ta porte en sueur, peur de Te chanter
Car Baye m’a expliqué que c’est Ta nature d’être discret
De Ton estime, nous aimerions être assidûment embrasés
Pour Toi certes tout chose éclose en notre jardin secret
O flamme divine de Médine, la très douce fournaise
C’est vraiment avec Tes feux lumineux que je parle à l’aise
Que je pénètre Ton territoire aux barrières ferriques
Devrais-je alors baisser ma plume? O que Non je prends le risque
Car mon cœur saigne et un cœur qui saigne fait des dégâts
Pardonne-moi alors Papa Mahi, je ne suis qu’un pauvre soldat
De par cette prière, ce sacrifice que j’accompli dans mon cœur.
Tes essences divines qui communiquent à tout mon être.
M’ont permis de comprendre que toucher le cœur de l’univers,
C’est connaître, sentir, pénétrer le Mahrifa onéreux très cher
Mais on n’y arrivera ni par la science, ni par les livres,
Mais comme Tu avais enseigné, il fallait seulement être ivre
Bénissons Ton nom pour toujours et à perpétuité
Jusqu’à l’extinction de toute activité qui nous a hanté
Bénie-moi, Maitre, Toi l’être à la grandeur insondable
Qui désaltère les assoiffés de lumière pitoyable
O père de Abdoulahi Mouhamadoul Mahi, ce sage vertueux
Qui du Soudan est connecté à Tes nobles principes fastueux
Que les cieux et les terres s’égayent de Toi jusqu’aux cieux.
EL HADJI ABDOULAYE FAM
MA PLUME, UNE LUMIERE

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